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Mireille Clapot est vice-présidente de la commission des Affaires étrangères. C’est une des huit commissions permanentes de l’Assemblée nationale. Ces dernières sont un organe de travail essentiel puisqu’elles préparent le débat législatif en séance publique, informent l’Assemblée et contrôlent le Gouvernement.
Les domaines de compétence de la commission des Affaires étrangères sont la politique étrangère et européenne, les traités et accords internationaux, les organisations internationales, la coopération et le développement, la francophonie et les relations culturelles internationales.
Les droits humains font partie des valeurs pour lesquelles s’est engagée Mireille Clapot depuis les années 90.
Son élection à la vice-présidence de la commission des Affaires étrangères s’est faite pour porter ces valeurs et plus largement au sein de la diplomatie française.
Cette thématique doit s’appuyer sur trois piliers : se référer aux textes internationaux, réagir à l’actualité nationale et internationale, agir sur des thématiques transversales.
Mireille Clapot a été désignée co-rapporteure, au sein de la commission des Affaires étrangères, d’une mission d'information sur "le rôle des femmes dans la prévention et dans le règlement des conflits ainsi que dans l'édification et le maintien de la paix".
Les travaux de cette mission se basent sur les résolutions du Conseil de sécurité consacrées aux femmes, à la paix et à la sécurité, en particulier la résolution 1325 de l'ONU. Plusieurs auditions d’ONG spécialisées dans ce domaine et d'experts de ces questions dans des zones de conflits permettront de renforcer l'expertise de Mireille Clapot dans le domaine des droits humains.
Cette mission fut l'objet d'un rapport d'information dont Mireille Clapot est la co-rapporteuse :
Passionnée de langue russe, de culture russe et de tout ce qui concerne la Russie, c'est tout naturellement que Mireille Clapot a été élue vice-présidente du groupe d’amitié parlementaire France-Russie, présidé par la députée Caroline Janvier. Dans la longue tradition d'amitié franco-russe, avec un contexte récent marqué par une relation plus complexe (sanctions, contre-sanctions, divergences sur des questions de politique étrangère), les membres du groupe d'amitié comptent renforcer les auditions et rencontres afin de resserrer les liens parlementaires.